Dedibox: première installation


L’installation du système d’exploitation est primordiale, nous allons voir comment s’effectue une installation simple d’une Dedibox avec le système d’exploitation Dedibox basé sur Ubuntu.

Attention les images sont trop larges pour la page, je les referais dans la semaine (plus ce week end tel que c’est parti car demain concert des Gun’s and Roses Yeah !)

Après avoir reçu ces codes pour se connecter à sa console Dedibox on voit que la machine n’est pas prête, une fois prête un message vous préviens qu’il n’y a pas de système d’exploitation sur votre Dedibox.

Pour aller dans le panneau de configuration et donc aussi d’installation, il suffit de cliquer sur le lien nommé configuration à droite du serveur. Un autre fenêtre va s’ouvrir sur l’écran d’installation du système d’exploitation. Vous pouvez apercevoir dans le menu du haut tous les outils fournit, que cela soit les graphs MRTG ou un service qui vous envois un courriel lorsqu’un service ne répond plus. Pour ce qui est de l’installation on voit clairement le bouton « Installer ma Dedibox »

Première étape de l’installation, le choix de la distribution. Dans ce premier écran le choix est simple, soit on prend la distribution recommandée qui est Dedibox soit une installation dites avancée pour installer un autre système d’exploitation que Dedibox. Pour une première installation je prendrais Dedibox pour voir comment réagis leur outils.

Maintenant que la distribution est choisie il suffit de renseigner les utilisateurs, root et le premier utilisateur. Attention il faut absolument des mot de passe de 8 caractères de long

Prochaine étape les alertes de sécurité. Il vous demande l’adresse de messagerie (courriel) par lequel vous voulez être prévenu. Ceci semble t’il est réservé à l’équipe de Dedibox.

Prochaine étape validation des informations entrées, si vous avez fait une erreur il suffit de cliquer sur la donnée erronée pour pouvoir la reconfigurer. Attention tout de même si vous voulez passer à l’installation il vous faudra cliquer sur « effacer toutes les données du disque », je n’ai pas testé avec les autres distributions encore pour savoir si cela est réservé uniquement à la distribution Dedibox. Si vous ne le cochez pas il vous le mettra en erreur avec un message en rouge, sinon annulez l’installation.

Voici enfin la phase tant attendue, l’installation. Grâce à leur système on peut voir la progression de l’installation du système et le temps nécessaire pour celle ci. Ici il est marqué que l’installation dure environ 11 minutes ce qui est plutôt raisonnable, il ne reste plus qu’à attendre.

Une fois installée la Dedibox redémarrera toute seule. Si vous retournez de suite dans son écran de configuration vous la verrez en rouge car elle ne ping pas, normal elle redémarre!

Si vous retournez sur la page de garde de votre console vous verrez que maintenant votre Dedibox affiche son système d’exploitation, ce qui peut être très pratique si on en a plusieurs.

Peu après on peut voir que la Dedibox est en ligne, il suffit de cliquer sur son statut qui est le premier lien dans le menu pour obtenir l’écran suivant:

Voici le message reçu pour me dire que ma Dedibox était de nouveau en ligne:

Voici maintenant l’écran qui se charge si l’on tape l’adresse de la Dedibox dans un navigateur web.

Voilà pour un premier tour d’horizon de la Dedibox avec sa propre distribution Linux. Plus tard je compte faire un serveur avec cette fois Ubuntu en tant que serveur et bien entendu avec Dapper qui vient d’arriver sur la Dedibox il y a peu. Avant cette installation je ferais un ticket sur tous les outiles proposés pour la Dedibox comme MRTG ou le reboot.


2 responses to “Dedibox: première installation”

  1. Bonsoir,
    Merci beaucoup pour ce tour d’horizon de la Dedibox qui reprend précisément toutes les étapes de son installation recommandée 🙂
    La console Dedibox vient de m’afficher
    "Installation lancée jeudi 22 juin 2006 à 00:24 et terminée avec succés à 00:33."
    Je ne vois pas comment Dedibox pourrait faire plus simple comme installation :p
    à bientot pour tes prochains articles,
    Bertrand

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